Goûtez donc ce Champagne cuvée Merveille, très savoureux, très bien élevé comme ce rosé cuvée Distinguée, de belle robe, avec ce nez de framboise et de mûre, vraiment très agréable. Belle cuvée Désirable Millésimé 2000, qui porte bien son nom, riche et fine, harmonieuse, elle allie finesse et structure, une bonne rondeur et un bouquet très aromatique aux connotations d’abricot, légèrement miellé, de mousse intense. Le Champagne demi-sec cuvée Doucereuse, une cuvée très fruitée, de mousse persistante, de bouche intense et savoureuse, à ouvrir sur un gâteau au chocolat. Le brut Réserve Précieuse, qui associe richesse aromatique et persistance, avec des notes de fleurs et de noisette caractéristiques, est également très abordable.
vendredi 28 mars 2008
Zoémie de Sousa
Goûtez donc ce Champagne cuvée Merveille, très savoureux, très bien élevé comme ce rosé cuvée Distinguée, de belle robe, avec ce nez de framboise et de mûre, vraiment très agréable. Belle cuvée Désirable Millésimé 2000, qui porte bien son nom, riche et fine, harmonieuse, elle allie finesse et structure, une bonne rondeur et un bouquet très aromatique aux connotations d’abricot, légèrement miellé, de mousse intense. Le Champagne demi-sec cuvée Doucereuse, une cuvée très fruitée, de mousse persistante, de bouche intense et savoureuse, à ouvrir sur un gâteau au chocolat. Le brut Réserve Précieuse, qui associe richesse aromatique et persistance, avec des notes de fleurs et de noisette caractéristiques, est également très abordable.
lundi 11 février 2008
Que boire avec les entrées ?
Les entrées
- Asperges : un Muscat d’Alsace.
- Artichaut : un rosé sec d’Anjou.
- Avocat : des blancs secs (Graves, Quincy, Touraine), voire moelleux (demi-secs de Loire).
- Caviar : Corton-Charlemagne, Champagne, Pouilly-Fumé.
- Choucroute : Riesling ou Tokay d’Alsace.
- Escargots : un Bourgogne, rouge ou blanc.
- Foie gras : Champagne rosé ou grand millésime, assez vineux, Gewurztraminer et Tokay Vendanges tardives avec un foie d’oie alsacien, Barsac ou Sauternes avec un foie de canard du Sud-Ouest.
- Jambon de Parme ou de San Daniele : blancs secs (Pouilly-Fuissé) ; essayez aussi des blancs moelleux (Loire, Alsace).
- Œufs : des rouges légers (Beaujolais…), voire un Clairet de Bordeaux.
- Pâtes, sauce à la crème : blancs secs de Bourgogne ou des Graves.

- Pâtes, sauce tomate : un CDR-Villages.
- Pâtés et terrines : des vins assez solides comme un cru du Beaujolais (Juliénas, Morgon…), un Madiran, un Chinon, un Coteaux-du-Languedoc, un Moulis…
- Potages : un Champagne rosé, un Coteaux-d’Aix blanc ou des rouges frais.
- Quiche : un Tokay Pinot Gris jeune, des rouges légers (Beaujolais, Loire, Jura, Bergerac…) ou des demi-secs de Loire et du Sud-Ouest.
v Paella : un Bandol rouge, un Corbières ou un CDR-Villages. Sinon, les rosés, avec une priorité pour les plus parfumés comme ceux de Provence, du Languedoc ou un Clairet de Bordeaux.
- Saumon fumé : Pouilly-Fumé, Champagne.
- Terrines de légumes : vins blancs de Loire.
- Asperges : un Muscat d’Alsace.
- Artichaut : un rosé sec d’Anjou.
- Avocat : des blancs secs (Graves, Quincy, Touraine), voire moelleux (demi-secs de Loire).
- Caviar : Corton-Charlemagne, Champagne, Pouilly-Fumé.
- Choucroute : Riesling ou Tokay d’Alsace.
- Escargots : un Bourgogne, rouge ou blanc.
- Foie gras : Champagne rosé ou grand millésime, assez vineux, Gewurztraminer et Tokay Vendanges tardives avec un foie d’oie alsacien, Barsac ou Sauternes avec un foie de canard du Sud-Ouest.
- Jambon de Parme ou de San Daniele : blancs secs (Pouilly-Fuissé) ; essayez aussi des blancs moelleux (Loire, Alsace).
- Œufs : des rouges légers (Beaujolais…), voire un Clairet de Bordeaux.
- Pâtes, sauce à la crème : blancs secs de Bourgogne ou des Graves.
- Pâtes, sauce tomate : un CDR-Villages.
- Pâtés et terrines : des vins assez solides comme un cru du Beaujolais (Juliénas, Morgon…), un Madiran, un Chinon, un Coteaux-du-Languedoc, un Moulis…
- Potages : un Champagne rosé, un Coteaux-d’Aix blanc ou des rouges frais.
- Quiche : un Tokay Pinot Gris jeune, des rouges légers (Beaujolais, Loire, Jura, Bergerac…) ou des demi-secs de Loire et du Sud-Ouest.
v Paella : un Bandol rouge, un Corbières ou un CDR-Villages. Sinon, les rosés, avec une priorité pour les plus parfumés comme ceux de Provence, du Languedoc ou un Clairet de Bordeaux.
- Saumon fumé : Pouilly-Fumé, Champagne.
- Terrines de légumes : vins blancs de Loire.
jeudi 7 février 2008
Érick de Sousa
Érick de Sousa (sur la photo, avec sa fille, Charlotte) symbolise l’explosion qualitative des meilleurs vignerons champenois de ces 20 dernières années, et c’est ce qui explique sa place dans notre Classement. Il exacerbe ce que l’on oublie parfois ici : la force du terroir, même si la science des assemblages est incontournable. Implanté au cœur de la Côte des blancs, son Champagne est issu des terroirs classés Grands Crus Blanc de blancs. Érick de Sousa a opté pour la fermentation malolactique afin de rendre les vins plus ronds et plus souples, et il passe son vin au froid pour garder toute la transparence à son Champagne. Il travaille en culture biologique sur ses 7 ha. “Cette pratique culturale vise à redonner à la vigne un équilibre naturel et à redynamiser la vie microbiologique du sol qui est la courroie de transmission des éléments du terroir à la vigne. Elle développe et renforce les défenses naturelles de la vigne et l’aide à exprimer son potentiel qualitatif maximal. Nous labourons donc les vignes à la charrue pour les désherber et aérer la terre. Nous élaborons notre propre compost, apportons à la vigne des préparations à base de minéraux, de plantes (ortie, camomille, pissenlit, valériane... ) et d’autres éléments naturels.” On excite donc ses papilles avec son Champagne Grand Cru cuvée des Caudalies 2002, issue d’un terroir exceptionnel classé Grand Cru, doublé à des vieilles vignes de plus de 40 ans (50 ans), 100% Chardonnay, d’une grande ampleur, avec beaucoup de matière et du gras grâce à sa vinification en fûts de chêne (15% de neufs), que nous avons particulièrement apprécié par sa complexité d’arômes et sa longueur en bouche, au nez de petits fruits (coins, citron), vineux et fin à la fois, charmeur, riche et complexe, d’une très grande élégance. Très beau Blanc de blancs Réserve brut, qui associe richesse aromatique et persistance en bouche, ample et dense, avec des connotations de fleurs blanches et de noisette caractéristiques. Le Grand Cru brut 96, avec des arômes de fruits secs et d’agrumes, est d’une grande harmonie, associant structure et nervosité, très savoureux comme la cuvée Caudalies rosé, rare et envoûtante. Son Champagne Grand Cru la Cuvée des Caudalies rosé est une grande réussite, de robe rose saumonée avec des reflets cuivrés, aux connotations de fruits frais (cassis, myrtille) et de pain brioché, de bouche intense avec une finale fraîche et persistante.
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mercredi 6 février 2008
Charles Audoin
jeudi 31 janvier 2008
Champagne Prin
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Pol-Roger
Une très grande maison familiale champenoise (il en reste de moins en moins) qui a su traverser le temps sans se laisser prendre au jeu de la mode, et en s’offrant le luxe d’une régularité qualitative exemplaire. Pour mémoire, Pol-Roger obtient le certificat de fournisseur de Champagne “Royal Warrant” de Sa majesté la reine Élisabeth II. Cette distinction permet à Pol-Roger de faire figurer, selon des règles strictes, les armes royales de la cour d’Angleterre. Pol-Roger était le Champagne préféré de sir Winston Churchill qui qualifiait la maison Pol-Roger “The world’s most drinkable address”. C’est en son honneur que la maison a créé en 1984 la première cuvée de prestige Sir Winston Churchill millésimée 1975 en magnum. D’autres se sont succédées, toujours dans les meilleures années : 1979, 1982, 1986, 1988, 1990, 1993 et 1995. La cuvée Sir Winston Churchill 96 est un très grand vin dense, complexe et savoureux, très parfumé (miel, fruits secs, agrumes mûrs), très riche en bouche, fin et structuré, qu’il faut déboucher sur du caviar. Le Chardonnay 98, avec ces notes de miel et d’amande, est un Champagne riche et parfumé, d’excellente évolution, très fruité et corsé à la fois, à la bouche dominée par des notes caractéristiques de noisette et de pomme mûre. Envoûtante cuvée de Réserve Rich de Pol-Roger (1/3 à parts égales des Pinot noir, Pinot meunier et Chardonnay), à mi-chemin entre sec et demi-sec, faiblement dosé (35g de sucre par litre), un Champagne très élégant et généreux, aux notes de fruits secs et de fleurs fraîches, qui offre une douceur et une suavité fine et persistante, à déboucher sur un dessert ou à savourer pour lui-même. Exceptionnel Champagne Extra cuvée de Réserve 98, au nez de noisette fraîche, de bonne bouche, alliant distinction et rondeur, un Champagne vineux mais en même temps tout en finesse, opulent et parfumé, aux notes de mûre, idéal au cours d’un repas. Le Champagne Extra cuvée de Réserve rosé 99, au nez de petits fruits mûrs, ferme et suave en bouche, est vineux et très fin à la fois, tout en harmonie et en fruité, tout en bouche, à savourer sur du saumon fumé comme sur un dessert aux fruits, vraiment exceptionnel. On est bien au sommet.Voir le Classement
dimanche 20 janvier 2008
Les vignobles Jérôme Quiot
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samedi 12 janvier 2008
La Bourgogne à table
- Auxey-Duresses. Si le blanc est parfait avec les poissons de rivière cuisinés ou une volaille, le rouge, riche, bouqueté, tout en bouche, s’accorde bien à la plupart des viandes rouges ou aux gibiers.
- Chablis. Ampleur, suavité, vivacité et persistance aromatique pour ces crus de Chablis, à déguster sur des poissons de rivière, des langoustines flambées ou une côte de porc charcutière.
- Chambolle-Musigny. Charme, puissance, finesse, couleur et concentration aromatique prédominent. Idéal sur un dindonneau à la broche ou une bécasse.
- Puligny-Montrachet et Chassagne-Montrachet. Bouquetés, secs et suaves à la fois, de beaux vins tout en persistance aromatique, pour les poissons (saumon fumé) et les viandes blanches cuisinées.
- Corton-Charlemagne. Il se savoure avec un turbot poché, un veau Orloff ou une dinde aux marrons, un foie gras au naturel ou du caviar.
- Côte-de-Beaune et Hautes-Côtes-de-Beaune. Bouquet et souplesse en bouche en font un rouge à boire sur un poulet rôti ou un jambon, du rosbif froid et un saint-nectaire.
- Fixin. Solide et coloré, un Fixin se goûte fort bien avec une palombe, un coq au vin, voire un curry de mouton.
- Mâcon. Une escalope (ou une langue) de veau et des poissons grillés pour le blanc, le gibier à plume pour le rouge qui s’accorde également avec une raclette.
- Mercurey. Le rouge, ferme et fruité, d’excellente évolution, se goûte avec des beignets d’aubergines, une perdrix au chou ou un reblochon.
- Meursault. Riche, parfumé, suave en bouche, un Meursault jeune se boit avec des ris de veau ou une dinde aux marrons. À maturité, il lui faut une blanquette de veau, des morilles à la crème ou des quenelles de brochet.
- Nuits-Saint-Georges. Alliant charpente et finesse aromatique, ces vins s’accommodent d’un ragoût d’agneau, d’un civet de lapin, de grives ou d’un bourguignon.
- Pommard. Solide et coloré, un grand Pommard se savoure sur des mets subtils et puissants à la fois, comme une palombe, une poule au pot, les viandes en sauce et le gibier.
- Pouilly-Fuissé. Idéal sur un saumon grillé, des ris de veau, une poularde en croûte de sel ou des quenelles de brochet.
- Rully. Le rouge s’accorde bien avec un jambon de sanglier, un canard farci ou le gibier. Le blanc avec tous les poissons.
- Santenay. Sa structure lui permet de se marier avec la plupart des gibiers et les ragoûts (daubes). Idéal dans sa jeunesse avec une épaule d’agneau boulangère.
- Vosne-Romanée. Concentration aromatique et velouté demandent un un pintadeau en sauce, un poulet sauté aux morilles ou un rable de lièvre.
- Chablis. Ampleur, suavité, vivacité et persistance aromatique pour ces crus de Chablis, à déguster sur des poissons de rivière, des langoustines flambées ou une côte de porc charcutière.
- Chambolle-Musigny. Charme, puissance, finesse, couleur et concentration aromatique prédominent. Idéal sur un dindonneau à la broche ou une bécasse.
- Puligny-Montrachet et Chassagne-Montrachet. Bouquetés, secs et suaves à la fois, de beaux vins tout en persistance aromatique, pour les poissons (saumon fumé) et les viandes blanches cuisinées.
- Corton-Charlemagne. Il se savoure avec un turbot poché, un veau Orloff ou une dinde aux marrons, un foie gras au naturel ou du caviar.
- Côte-de-Beaune et Hautes-Côtes-de-Beaune. Bouquet et souplesse en bouche en font un rouge à boire sur un poulet rôti ou un jambon, du rosbif froid et un saint-nectaire.
- Fixin. Solide et coloré, un Fixin se goûte fort bien avec une palombe, un coq au vin, voire un curry de mouton.
- Mâcon. Une escalope (ou une langue) de veau et des poissons grillés pour le blanc, le gibier à plume pour le rouge qui s’accorde également avec une raclette.
- Mercurey. Le rouge, ferme et fruité, d’excellente évolution, se goûte avec des beignets d’aubergines, une perdrix au chou ou un reblochon.
- Meursault. Riche, parfumé, suave en bouche, un Meursault jeune se boit avec des ris de veau ou une dinde aux marrons. À maturité, il lui faut une blanquette de veau, des morilles à la crème ou des quenelles de brochet.
- Nuits-Saint-Georges. Alliant charpente et finesse aromatique, ces vins s’accommodent d’un ragoût d’agneau, d’un civet de lapin, de grives ou d’un bourguignon.
- Pommard. Solide et coloré, un grand Pommard se savoure sur des mets subtils et puissants à la fois, comme une palombe, une poule au pot, les viandes en sauce et le gibier.
- Pouilly-Fuissé. Idéal sur un saumon grillé, des ris de veau, une poularde en croûte de sel ou des quenelles de brochet.
- Rully. Le rouge s’accorde bien avec un jambon de sanglier, un canard farci ou le gibier. Le blanc avec tous les poissons.
- Santenay. Sa structure lui permet de se marier avec la plupart des gibiers et les ragoûts (daubes). Idéal dans sa jeunesse avec une épaule d’agneau boulangère.
- Vosne-Romanée. Concentration aromatique et velouté demandent un un pintadeau en sauce, un poulet sauté aux morilles ou un rable de lièvre.
jeudi 3 janvier 2008
La saga Dubœuf
Il faut venir aussi à Romanèche-Thorins pour découvrir les nouveautés de leur “Hameau en Beaujolais”. En 2001, s’ouvrait “La Gare”, et en 2003, “Un Jardin en Beaujolais”, le tout créant un site unique en Europe, un parc à thème sur la vigne et son histoire. Des collections exceptionnelles (wagon de Napoléon III, maquette, outils, musée...) et des scénographies dédiées au vin et à son univers (cinéma en 3D, personnages en cire, décors automatisés, jeux inter-actifs pour les enfants..). Lieu magique, ludique et pédagogique, le Parc de la Vigne et du Vin offre une rencontre unique à la découverte de l’histoire du vin sous toutes ses facettes. La grande nouveauté : la mise en place d’un petit train qui circule au milieu des vignes et relie le Hameau du Vin au Jardin en Beaujolais pour une promenade captivante parmi les senteurs et les arômes.
Cette année, c’est la superbe boutique. Les travaux ont été confiés à Pierre Chaduc, un Lyonnais qui connaît bien la maison grâce à une longue et fidèle collaboration depuis la création du Hameau du vin. L’espace épicerie fine propose désormais un large choix de spécialités mais aussi une sélection de produits régionaux qui raviront les gastronomes et les gourmands.
Les amateurs apprécieront l’atmosphère sereine de la cave dédiée aux grands crus. Le Hameau du Vin propose en effet dans sa boutique une sélection de vignerons et négociants de renom et d’appellations prestigieuses issues des régions viticoles françaises mais aussi quelques coups de cœur de vins étrangers.
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